Lylian et Merlin sont connus pour être les fins organisateurs de soirées endiablées à la FEAH. Lylian vient d'un milieu un peu bourgeois, c'est aussi le cas de Merlin, leurs soirées ont donc bonne réputation et ils mettent les moyens dans leurs fêtes.
Sympathiques, ils sont un couple qui vient de se marier il y a tout juste quelques mois.
Aujourd'hui, Lylian et Merlin ont disparu alors qu'ils passaient leur lune de miel dans l'asile psychiatrique délabré de l'ancien Ludun.

Ce tout nouveau directeur est apparu parmi vous cette année. Vous ne savez pas grand chose de lui, à part qu'il a l'air de dire ce qui lui passe par la tête et qu'il est un peu...louche. Certains professeurs diront qu'ils ne savent pas quoi penser de cet individu un peu malin, pas vraiment prêt à augmenter le budget des salaires ou des différents départements. Il semble avoir un rapport particulier à la communication. Très particulier.

Ce personnage n'est pas jouable. On ignore pas mal de choses de lui, que ce soit sa famille ou son passé.

Certains étudiants auront eu la chance de le connaître comme professeur de droit, il erre également dans le campus et sert de garde-fou à tous ceux voulant risquer inutilement leur vie.
Funérailles a un oeil à l'iris jaune sur fond noir, le côté droit de son visage est défiguré et il semblerait qu'il soit manchot.
Son apparence, son sérieux font de lui quelqu'un d'extrêmement dangereux et sérieux. Il manie un sabre cassé. On dit qu'il porterait malheur de le voir.
C'est aussi le jumeau de Scipio.

Vous aurez pu croiser dans le campus ce drôle d'étudiant à la chemise hawaïenne et aux lunettes de soleil. Celui qui a l'air d'être perpétuellement en vacances et qui vous a proposé quelques substances douteuses avec un grand sourire. Il dit qu'il est en master, mais bizarrement, personne ne l'a jamais vu assister à aucun cours.
On ne connaît pas vraiment ses réelles intentions, il est là, c'est tout. Il semble toujours dire la vérité.
En vérité, Cernunnos est l'incarnation de Satan sur Terre. Il est donc immortel et nul ne connaît ses véritables attentions.