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Raise a glass for the empty hearted | Meredith McFarlane
Meredith McFarlane
Meredith McFarlane
Messages : 35
Date d'inscription : 01/12/2023
Meredith McFarlane
Ven 1 Déc - 18:54
Meredith McFarlane
feat Husk (Hazbin Hotel)
Surnom Merry
Âge Il prétend avoir 42 ans, même s’il ignore son âge en vérité - il a compté à partir de sa fuite du laboratoire
Lieu de naissance Quelque part aux États-Unis, d’aussi loin qu’il s’en souvienne
Nature Monstre hybride (cat-sìth)
Niveau de dangerosité 1
Pouvoir Les neuf vies
Groupe Personnel
Métier Secrétaire administratif - il est en théorie celui vers qui les étudiants se tournent en cas de soucis divers en lien avec leurs études ou avec le campus. Dans les faits, il vous laissera vous démerder sans lever les yeux de son occupation du moment.

RudeCyniqueGrinçantFroidDistantPatientDébrouillardDe bons conseilsVulgaireRésilientFrancVigilant
Type de pouvoir Surhumain
Son apparition Aussi loin que Meredith s’en souvienne, il a toujours été un hybride cat-sìth, avec une autre créature dont il ignore tout pour expliquer ses ailes et ses attributs propres au hibou ; une abomination créée en laboratoire. Alors naturellement, il possède les pouvoirs qui en découlent.
Le décrire Comme le veut tous ces mythes autour des cat-sìth, ou des chats de manière plus générale, il possède neuf vies. En d’autres termes, il peut mourir huit fois, et se relever d’entre les morts.
Limites Une fois les neuf vies écoulées, la mort est définitive. Il est d’ailleurs dans l’incapacité de mourir avant d’avoir consommé ses neuf vies
Conséquences et/ou conditionsPour que le pouvoir s’active, Meredith doit mourir, peu importe la manière, que ce soit naturel ou non. En revanche, il conserve les séquelles et les cicatrices de chacune de ses morts.
A l'heure actuelle, Meredith ignore combien de vies il lui reste ; il est seulement certain de deux morts.
A la FEAH, beaucoup d’étudiants croisent les doigts pour ne pas rencontrer Meredith au secrétariat de l’université. Certains font même demi-tour lorsqu’ils sentent la forte odeur de cigare qui se dégage du bureau, ou s’ils aperçoivent au loin sa sale trogne rivée sur son vieux téléphone pour jouer à Snake ou sur un énième bouquin dont personne ne comprend le nom. Les autres, ceux plein d’espoir qu’un jour, Meredith fera son travail correctement, se heurtent à chaque fois à un mur. L’insolence, la froideur, l’indifférence ; un cocktail explosif pour ignorer les demandes des étudiants. Au mieux, ces derniers ne reçoivent pour seule réponse un long silence, parfois accompagné de la fumée du cigare ; au pire, Meredith démontre toute l’amertume dont il est capable envers les étudiants et se comporte comme une infâme enflure envers eux - ou avec le reste du personnel de la faculté.  

Et pourtant, malgré ce manque flagrant de professionnalisme, Meredith reste à son poste. Il fait partie des murs, et personne ne sait trop depuis quand il est là. Il semble avoir toujours été là, depuis le début aussi incompétent qu’il ne l’est aujourd’hui. Il y a bien des plaintes qui remontent à l’administration, qui le rappelle à l’ordre, mais rien ne change. Il conserve la même sale attitude, cette même irrévérence au quotidien. Alors on s’interroge, on prend des partis ; pourquoi est-il toujours là ? Certaines pointent qu’il fait bel et bien son travail (autrement, comment auraient-ils leurs emplois du temps ?), ce pourquoi il n’a pas été viré, et qu’il a seulement un relationnel catastrophique. Le nom d’Ashley apparaît souvent aussi dans les nombreuses suppositions plus ou moins farfelues.

Ashley, une chercheuse de la FEAH, qui a fait tout son cursus dans cette université et qui y est restée. Toujours le sourire aux lèvres, la bonne humeur rayonnante, et un optimisme débordant. Elle est la raison derrière le recrutement de Meredith, celle qui l’a poussé à postuler en tant que secrétaire administratif - certains spéculent qu’elle a postulé à sa place. Souvent lui rend-elle visite à son bureau, insiste pour manger à la cantine avec lui, l’appelle “Merry” à tout-va (et elle est bien la seule à pouvoir lui donner pareil surnom ; le dernier étudiant à s’y être essayé s’est retrouvé en retenue jusqu’à la fin de son année à écrire en chiffres et en lettres des factorielles, et ce plusieurs fois par semaine). Là encore, une relation nimbée de mystère, mais en même temps, Meredith lui-même est un mystère à lui seul.

Personne ne sait d’où il vient, ni ce qui l’a poussé à rejoindre la FEAH alors qu’il semble détester son travail (ou tout du moins les étudiants). Personne ne connaît non plus ses origines, encore moins ce qu’il est réellement.

Les paris sont ouverts, comme diraient certains.

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Après le noir vint la douleur. La douleur physique, mentale.

La douleur d’exister.

Meredith ne garde que des souvenirs flous de cette période de sa vie, prétend-il - ou prétendrait-il, ce n’est pas comme s’il en avait déjà parlé à qui que ce soit. Ashley a bien des doutes, il le voit dans son regard, mais il ne lui dit rien pour l’heure. Ou c’est ce qu’il lui dira plus tard. En vérité, il conserve des souvenirs précis de cette époque à jouer les chats de laboratoire. Il n’a rien connu d’autre avant ; ne sait pas s’il existait avant le laboratoire. La sorcière qui s’occupait de lui à l’époque lui a souvent laissé sous-entendre une précédente vie, dont il n’a aucun souvenir , mais Meredith en vient à croire qu’il ne s’agissait que d’une chimère pour mieux le tenir en laisse pendant toutes ces années.

Il préfère garder ces souvenirs sous clef, pour ne plus jamais en parler. Ils ont peut-être façonné son âme, mais il a décidé de ne jamais regarder derrière. Une détermination qui cache avant tout une peur profonde teintée de haine envers sa propre personne.

Il les a tous tués, le jour où il s’est échappé. La sorcière, ceux qui ont tenté de lui barrer le chemin, et il a couru sans s’arrêter.

Après ça, l’immensité des États-Unis s’est offerte à lui. Il a d’abord posé ses valises - inexistantes - à Las Vegas. Il a ignoré les regards méprisants, a fait la manche, puis a tenté sa chance. Que risquait-il, à part perdre une poignée de dollars ? Les premières parties ont été un échec cuisant, puis il a appris à compter les cartes, à tricher aussi ; des tours de passe-passe et de magie pour manier les cartes en toute habilité. Petit à petit, la poignée de dollars amassé en mendiant est devenue centaines, puis milliers. Il a même embauché comme croupier dans des milieux peu recommandables pour duper des touristes stupides, et a affiné ainsi ses compétences, sans pour autant arrêter ses arnaques dans les casinos.

Sa chance insolente a toutefois fini par attirer l’attention, malgré son habitude de changer régulièrement de casino, alors il a mis les voiles. Au revoir Las Vegas, et bonjour La Nouvelle Orléans.

Meredith a un temps vécu sur ses économies, puis il s’est laissé porter par la musique. Il a appris à jouer du saxophone sur le tas, ne souhaitant pas recommençant dans l’immédiat ses ruses de jeu pour faire profil bas. D’abord musicien minable, il s’améliore au fil des mois, joue dans des bars miteux, mais les dollars finissent par tomber. Il gagne sa vie, assez pour être à l’abri du besoin ; un temps.

Les ennuis reviennent. Le mot a tourné, d’une façon ou d’une autre, et il plonge dans la criminalité. Il joue à nouveau les croupiers pour extorquer les joueurs de sa table, se noie dans la violence. Il défend sa place, souffre d’autant plus des préjugés concernant les monstres, mais il n’abandonne pas. Il vole, tue ; fait le nécessaire pour survivre. Il s’abîme dans la noirceur de l’humain qu’il n’a jamais été.

Les années passent. L’argent coule à flots, alors il en redistribue une partie à un orphelinat qui accueille notamment des monstres. Il garde d’ailleurs un œil sur les gérants, pour s’assurer que les billets servent bien aux gamins. Il finit par les prendre sous son aile, pour éviter qu’ils connaissent un sort comme le sien. Tout l’argent qu’il gagne passe dans l’orphelinat ; il retape les locaux, leur achète des vêtements, des jouets, les envoie à l’école. Il leur offre la vie qu’il n’a jamais eue.

Un essor de héros à La Nouvelle Orléans complique les choses. Les criminels tombent comme des mouches, Meredith multiplie les gardes à vue malgré l’absence de preuves. Le délit de faciès, encore et toujours. Il tente alors de couper les liens avec l’organisation criminelle à laquelle il appartient, pour se focaliser uniquement sur l’orphelinat. L’accord est délicat à obtenir, mais le compromis se fait.

L’orphelinat brûle deux semaines plus tard.

Une attaque d’un gang rival, soi-disant, mais Meredith ne croit pas aux coïncidences - encore moins lorsqu’il est arrêté pour activités criminelles. Sans une quelconque forme de procès, il est jeté en prison.

Il passe sept ans derrière les barreaux ; sept ans à batailler avec des avocats qui refusent de l’aider, parce qu’il n’est qu’un monstre, jusqu’à ce que l’un des gamins de l’orphelinat qu’il a aidé par le passé lui tende la main. Avec son aide, il obtient sa libération sous conditionnelle et à peine sorti de prison, il disparaît des radars.

A nouveau sur les routes, il fuit par le Mexique pour échapper à la justice américaine, mais est retrouvé par son ancien gang qui le tue. Dans un piteux état, il se soigne comme il peut, puis s’embarque pour l’Europe pour éviter que ses ennemis n’apprennent sa survie. Il met ainsi les pieds en Écosse ; c’est d’ailleurs là qu’il adopte le nom de Meredith McFarlane. Il tente de coller à son nouvel environnement, de ne pas faire tâche, et surtout, de ne pas attirer l’attention. Il s’installe à Edimbourg, tente de mener une vie rangée, mais il se heurte bien aux préjugés et aux refus sans fin.

Finalement, il retourne à ses vieilles habitudes ; les cartes et le saxophone, mais cette fois, il se tient à l’écart de toute criminalité. Il essaie de gagner sa vie dans la légalité, en dépit de toutes les difficultés qui se dressent sur sa route. Petit à petit, il prend ses marques, les cafés sollicitent sa présence comme son saxophone et il se fait sa place malgré son sale caractère.

Dans les habitudes de sa nouvelle vie apparaît aussi une drôle de fille. Elle est toujours là, assise à la même table, avec la même boisson, et elle n’a d’yeux que pour lui. Il n’en faut pas davantage à Meredith pour se méfier d’elle comme de la peste - ancienne membre d’un gang ? Survivante du labo ? Une flic ? Les possibilités sont trop nombreuses.

Mais non. Elle est chercheuse à la FEAH, une université de seconde zone - elle lui fait toujours les gros yeux quand il dit ça - et elle se fascine pour les sciences sociales. L’utopie dans l’âme, elle rêve d’un monde où les humains comme les monstres seraient égaux, et elle s’est prise d’intérêt pour lui afin de connaître ses difficultés dans la vie de tous les jours pour s’intégrer.

Meredith lui claque la porte au nom. Il refuse d’être l’objet de son étude, mais elle n’en démord pas. Elle continue de venir au café, change même son angle d’approche pour aborder les choses de manière moins scientifique, moins typique d’un laboratoire. En vain - Meredith se montre aussi entêté qu’elle.

Les venues répétées d’Ashley dans les cafés où il joue se muent en habitude, une constante presque rassurante, jusqu’à ce qu’elle disparaisse. S’il accueille d’abord la nouvelle avec un soulagement certain, il finit toutefois par s’inquiéter. Elle l’aurait prévenu si elle rentrait en France. Elle ne disparaîtrait pas comme ça.

Alors il la cherche, plonge malgré lui dans la criminalité pour la retrouver, après des années à éviter de retomber dans cet extrême.

Avec les bons pots-de-vins, il la retrouve sans difficulté, prise en otage par un groupuscule qui entendait faire chanter sa famille pour une rançon. Il la sauve, meurt pour elle se faisant - à quoi s’attendait-il, à venir seul ? Et comme personne ne s’attend à le voir se redresser, l’élément de surprise lui permet de prendre l’ascendant.

Cette fois, il la suit sans discuter en France, ne serait-ce que pour éviter de nouveaux tourments judiciaires, mais il refuse toujours de l’aider pour ses recherches. Et étonnamment, elle ne s’entête pas. Elle accepte, lui propose un poste à la FEAH pour effacer une partie de la dette de vie qu’elle a envers lui. D’abord dubitatif, il accepte, n’ayant nulle part où aller.

Ashley tire les ficelles avec sa famille, ces mêmes ficelles qui lui permettent de rester en poste malgré son attitude exécrable au quotidien, sa consommation d’alcool excessive ou de tabac dans l’enceinte de l’établissement, ou encore les paris clandestins auxquels il s’adonne parfois.

Et pour la première fois de toute sa vie, Meredith parvient à rester au même endroit sans se soucier un seul instant de la criminalité.

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Anecdotes en vrac

Meredith reste un chat, au fond. Et même s'il ne l'assume pas, il ronronne, de plaisir comme de peur. ◈ Ses ailes ne sont pas là que pour la décoration, il sait voler avec, même s'il le fait rarement, et encore moins devant les étudiants ◈ Il prétend que son pouvoir est de rester sobre malgré tout l'alcool qu'il boit au quotidien ◈ Il aime son café serré, souvent agrémenté de whisky ◈ Il joue toujours du saxophone ◈ Il voit dans la pénombre comme dans le noir, et a aussi une excellente ouïe ◈ Il déteste quand Ashley l'appelle Merry, mais il la laisse faire.

Hello hello ! Je suis une grande habituée des forums illustrés, et forcément, j'ai pas pu résister quand une certaine personne a popé dans mes mps pour me vendre son forum. Pour la faire courte, je me nourris exclusivement de thé et je saupoudre mes rps de drama, mais promis, je mords pas.

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Scipio
Admin
Scipio
Messages : 151
Date d'inscription : 14/10/2022
Localisation : Tour des Corbeaux
Scipio
Sam 2 Déc - 10:56
Tu es validé !


Bienvenue à toi !

J'adore Meredith, le personnel a décidément de drôles d'énergumènes en son sein, à se demander comment procède le recrutement !
J'ai hâte d'en savoir plus sur lui, j'aime beaucoup que tu aies exploité le côté monstre qui est automatiquement coupable, car c'est en effet le cas dans cet univers, sans compter son pouvoir !

A très bientôt dans les rps ! lovu

Je te laisse explorer un peu plus le forum, éventuellement faire ta fiche de liens ou poster une demande de rp (ou y répondre). Il y a un sujet avec des missions, tu peux en prendre une et la proposer aux membres du forum/discord.


Tu peux également regarder et remplir les listings pour faire une demande de club, de logement hors ou dans l'université. Les clubs, c'est le bien, pas mal de rencontre rp se font pas ce biais, tu peux même en créer un si tu as des idées !

Bon jeu à toi !
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